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miércoles, 7 de diciembre de 2016

Edith Piaf


            Edith Piaf nació debajo de una farola frente al número 72 de la rue de Belleville en París, el 19 de diciembre de 1915. Su padre, Louis Alphonse Gassion  fue acróbata y su madre, Annetta Maillard, cantante ambulante de origen italo-argelino. Su verdadero nombre era Édith Giovanna Gassion y fue una de las cantantes más célebres de todos los tiempos. Murió el 10 de octubre de 1963, a los 47 años de edad.
          Se crió en una casa de prostitución regentada por su abuela materna. A los 17 años tuvo una hija que murió de meningitis dos años después y en 1935 es descubierta mientras cantaba por las calles por el gerente de un cabaret de moda situado en la Avenida de  los Campos Elíseos. Debido a su pequeña estatura (1,47 m) la presentó con el nombre artístico de “La niña Gorrión” (La Môme Piaf).

        Tuvo una voz prodigiosa y a lo largo de su azarosa vida, numerosos romances:  (Marlon Brando, Yves Montand, Charles Aznavour, Théo Sarapo y Georges Moustaki. Marcel Cerdan, Theo Sarapo. Conoció el éxito, aclamada en todo el mundo, sus canciones llegaron al corazón de la gente, pero su vida fue todo menos un jardín de rosas.
         Algunas de las que mas fama le dieron: Himno al amor, Milord, Non, je ne regrette rien, La vida en rosa, Mon légionnaire, L'Accordéoniste, Padam... Padam..., Sous le ciel de Paris, Les Trois Cloches, La Foule.
         Edith Piaf, el Gorrión de París, una pequeña gran mujer.


MILORD (1959)

Allez, venez, Milord!
Vous asseoir à ma table;
Il fait si froid, dehors,
Ici c'est confortable.
Laissez-vous faire, Milord
Et prenez bien vos aises,
Vos peines sur mon coeur
Et vos pieds sur une chaise
Je vous connais, Milord,
Vous n'm'avez jamais vue
Je ne suis qu'une fille du port,
Qu'une ombre de la rue...
Pourtant j'vous ai frôlé
Quand vous passiez hier,
Vous n'étiez pas peu fier,
Dame! Le ciel vous comblait:
Votre foulard de soie
Flottant sur vos épaules,
Vous aviez le beau rôle,
On aurait dit le roi...
Vous marchiez en vainqueur
Au bras d'une demoiselle
Mon Dieu!... Qu'elle était belle...
J'en ai froid dans le coeur...
Allez, venez, Milord!
Vous asseoir à ma table;
Il fait si froid, dehors,
Ici c'est confortable.
Laissez-vous faire, Milord,
Et prenez bien vos aises,
Vos peines sur mon coeur
Et vos pieds sur une chaise
Je vous connais, Milord,
Vous n'm'avez jamais vue
Je ne suis qu'une fille du port
Qu'une ombre de la rue...
Dire qu'il suffit parfois
Qu'il y ait un navire
Pour que tout se déchire
Quand le navire s'en va...
Il emmenait avec lui
La douce aux yeux si tendres
Qui n'a pas su comprendre
Qu'elle brisait votre vie
L'amour, ça fait pleurer
Comme quoi l'existence
Ça vous donne toutes les chances
Pour les reprendre après...
Allez, venez, Milord!
Vous avez l'air d'un môme!
Laissez-vous faire, Milord,
Venez dans mon royaume:
Je soigne les remords,
Je chante la romance,
Je chante les milords
Qui n'ont pas eu de chance!
Regardez-moi, Milord,
Vous n'm'avez jamais vue...
...Mais... vous pleurez, Milord?
Ça... j'l'aurais jamais cru!...
Eh ben, voyons, Milord!
Souriez-moi, Milord!
...Mieux qu' ça! Un petit effort...

Voilà, c'est ça!
Allez, riez, Milord!
Allez, chantez, Milord!
La-la-la...

Mais oui, dansez, Milord!
La-la-la... Bravo Milord!
La-la-la... Encore Milord!... La-la-la...

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